La vieillesse fait l’objet de représentations et d’idéalisation, souvent dans le sens de la disparition de la pulsionnalité. À partir d’une situation clinique et de la littérature sera explorée la figure de « la vieille dame indigne » (B. Brecht). Cette figure sera analysé : 1) comme affirmation du self dans le vieillissement, après le veuvage ; 2) comme manifestation tardive de l’agressivité vis-à-vis des enfants. Ceci sera enfin particulièrement interrogé quant au féminin dans la vieillesse et à son idéalisation.